Reportage de TF1 qui condamne injustement les options binaires

Reportage de TF1 qui critiquenet les dérivent des options binaires et des sites de brokers en ligne - Options binaires enligne : analyse et avis d’un journaliste de TF1

Les options binaires ont pris un coup sur la patate ce mardi 27 avril 2014, la chaine de télévision TF1 lui a consacré un reportage lors de son journal télévisé et le moins que l'on puisse dire est que celui-ci n'était pas fait pour rassurer les personnes souhaitant investir dans ce type de produit financier.

Ces via plusieurs témoignages de personnes ayant perdu de grosse somme que TF1 a fait le titre de son journal, montrant des personnes ayant perdu de très grosses sommes mais également une personne ayant effectué de très gros gains mais dont le broker auquel il était inscrit a refusé de faire le paiement pour on ne sait quelle raison, il semblerait que le broker en question soit Option Bank, du moins c'est ce que laissait penser le reportage et les journalistes de la chaine de télévision française.

Nous avons mené notre petite enquête également et nous sommes très vite rendu compte que ce broker d'option binaire n'était pas à conseiller, l'on se demande même comment ces joueurs français ont pu tomber sur ce broker qui ne dispose pas d'agrément que pour pouvoir proposer ce type de produit, du moins nous n'avons trouvé aucune trace d'un quelconque agrément d'une autorité de marché sur leur site internet.

Via cet article, nous souhaiterions apaiser vos craintes car en effet, si les options binaires ont mauvaise réputation, il ne faut pas mettre tous les brokers dans le même sac. La plupart de ceux-ci remplissent un cahier des charges très strictes leur permettant de proposer ce type de produit aux investisseurs français.

Des brokers comme eToro ou Ava Trade n'ont pas la réputation de ne pas payer leurs investisseurs, au contraire les retours sont plutôt en leur faveur par la rapidité à laquelle les retraits peuvent être effectués.

Une fois de plus, le marché des options binaires est donc montré du doigt, peut être pas pour de bonnes raisons lorsque l'on sait que l'Etat français n'a pas encore trouvé le moyen de toucher des taxes sur ce type de service qui semble bénéficier du droit international et européen alors qu'ils avaient réussi à s'enrichir sur l'ouverture du marché du jeu en ligne, le marché de la finance semble leur poser quelques problèmes. Nuire à la réputation du système pourrait être une des pistes imaginée par Bercy pour récupérer quelques euros à une époque où les taxes pleuvent de tous les côtés.